Titre : La Folie de Lord Mackenzie / The Madness Of Lord Mackenzie
Série : Les Mackenzie (n°1)
Auteur : Jennifer ASHLEY
Genre : Highlander
Année : 2009 VF : 2011
Editions : J'ai Lu Collection : Aventures & Passions
N°9416
4e de couverture :
Il faut être fou pour demander une femme en mariage cinq minutes après l'avoir rencontrée!
De fait, Ian Mackenzie a passé plusieurs années à l'asile où son père l'a fait enfermer. Bien que charmée par ce doux excentrique, la belle Beth Ackerley ne peut que décliner son offre. Elle est veuve et raisonnable.
Mais voilà qu'il la suit à Paris et que tout s'accélère : Ian a beau se prétendre incapable d'aimer, un désir fou les jette bientôt dans les bras l'un de l'autre.
Et Beth se sent perdre la tête pour son bel Ecossais, au mépris de sa scandaleuse réputation et des accusations de meurtre portées contre lui...
Mon avis :
Quel démarrage en fanfare !!
Mackenzie est un fervent amateur d'oeuvres d'art. Et lorsqu'il rencontre Beth, son intérêt d'expert est éveillé. Il la veut pour lui, et il la demande en mariage illico bien qu'elle soit fiancée à quelqu'un d'autre. Mais attention ! Il l'annonce : il est incapable d'amour !
D'entrée on comprend la confusion qui frappe Beth au contact de Ian. L'homme est une énigme, il n'est pas très porté sur la communication, et possède un langage (vocal et corporel) assez brut, mais si troublant. Connu comme le fou Mackenzie, ce n'est pas un secret qu'il a passé plusieurs années dans un asile, et il ne tarde pas à être le suspect n°1 dans une affaire de meurtre.
Mais, tel un papillon attiré par une flamme, Beth ne pourra résister à l'attrait du beau Highlander. La jeune veuve n'hésite pas à assumer ses désirs et je l'en félicite. D'autant plus que mon point rigidité est largement respecté (règle : 3 ans après la mort de l'être aimé pour aimer quelqu'un d'autre. Durée de veuvage de Beth : 8 ans, elle aura même droit à un bonus "auréole" en plus). Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle fait archi-confiance à son instinct !
Pourtant, si j'ai été séduite au début par la personnalité de Ian, j'avoue qu'au fur et à mesure de ma lecture je n'arrivais pas à le cerner. Je n'ai pas bien compris le handicap (désolée, je ne sais pas comment nommer le mal qui le frappe, je ne pense pas qu'"autisme" convienne). On nous le présente comme un génie renfermé, capable de retenir toutes les phrases qu'il entend, mais sans pour autant les comprendre. Pourtant, on le voit tenir des conversations sensées avec des gens. On nous le présente comme un personnage égocentrique, insensible, sauf qu'au lit il a toujours veillé à satisfaire ses partenaires. J'avoue que son côté "je m'en fiche de ce que tu racontes, faisons des cochoncetés je vais te faire grimper au rideaux" m'a un peu gênée, d'autant plus qu'une bonne partie de l'histoire finit par se résumer à des scènes de sexe. Et bien que les scènes sensuelles soient assez innovantes et électrisantes, j'ai craint un moment que l'histoire ne redécolle plus.
Heureusement, dans un second temps on s'intéresse à la résolution de l'intrigue. Il y a un héros à innocenter tout de même. Eh bien là non plus je n'ai pas été convaincue. Je n'ai pas aimé la façon dont la partie "enquête" a été menée et j'ai trouvé le sur-rebondissement final, très "bateau".
La Folie de Lord MacKenzie est un livre que j'étais toute prête à aimer. Mais bien que je l'ai lu assez vite et que je ne puisse pas dire que je me suis ennuyée, je n'ai pas été vraiment séduite. Mais le début était tellement bien !! C'est dommage. Après je reconnais que le sujet auquel s'est attaquée Jennifer Ashley est casse-gueule.
En revanche, j'ai été intriguée par le couple Mac / Isabella, qui fera l'objet du tome 2, et j'ai donc l'intention de continuer la découverte de cette saga.
Ma note pralinée :
Série : Les Mackenzie (n°1)
Auteur : Jennifer ASHLEY
Genre : Highlander
Année : 2009 VF : 2011
Editions : J'ai Lu Collection : Aventures & Passions
N°9416
4e de couverture :
Il faut être fou pour demander une femme en mariage cinq minutes après l'avoir rencontrée!
De fait, Ian Mackenzie a passé plusieurs années à l'asile où son père l'a fait enfermer. Bien que charmée par ce doux excentrique, la belle Beth Ackerley ne peut que décliner son offre. Elle est veuve et raisonnable.
Mais voilà qu'il la suit à Paris et que tout s'accélère : Ian a beau se prétendre incapable d'aimer, un désir fou les jette bientôt dans les bras l'un de l'autre.
Et Beth se sent perdre la tête pour son bel Ecossais, au mépris de sa scandaleuse réputation et des accusations de meurtre portées contre lui...
Mon avis :
Quel démarrage en fanfare !!
Mackenzie est un fervent amateur d'oeuvres d'art. Et lorsqu'il rencontre Beth, son intérêt d'expert est éveillé. Il la veut pour lui, et il la demande en mariage illico bien qu'elle soit fiancée à quelqu'un d'autre. Mais attention ! Il l'annonce : il est incapable d'amour !
D'entrée on comprend la confusion qui frappe Beth au contact de Ian. L'homme est une énigme, il n'est pas très porté sur la communication, et possède un langage (vocal et corporel) assez brut, mais si troublant. Connu comme le fou Mackenzie, ce n'est pas un secret qu'il a passé plusieurs années dans un asile, et il ne tarde pas à être le suspect n°1 dans une affaire de meurtre.
Mais, tel un papillon attiré par une flamme, Beth ne pourra résister à l'attrait du beau Highlander. La jeune veuve n'hésite pas à assumer ses désirs et je l'en félicite. D'autant plus que mon point rigidité est largement respecté (règle : 3 ans après la mort de l'être aimé pour aimer quelqu'un d'autre. Durée de veuvage de Beth : 8 ans, elle aura même droit à un bonus "auréole" en plus). Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle fait archi-confiance à son instinct !
Pourtant, si j'ai été séduite au début par la personnalité de Ian, j'avoue qu'au fur et à mesure de ma lecture je n'arrivais pas à le cerner. Je n'ai pas bien compris le handicap (désolée, je ne sais pas comment nommer le mal qui le frappe, je ne pense pas qu'"autisme" convienne). On nous le présente comme un génie renfermé, capable de retenir toutes les phrases qu'il entend, mais sans pour autant les comprendre. Pourtant, on le voit tenir des conversations sensées avec des gens. On nous le présente comme un personnage égocentrique, insensible, sauf qu'au lit il a toujours veillé à satisfaire ses partenaires. J'avoue que son côté "je m'en fiche de ce que tu racontes, faisons des cochoncetés je vais te faire grimper au rideaux" m'a un peu gênée, d'autant plus qu'une bonne partie de l'histoire finit par se résumer à des scènes de sexe. Et bien que les scènes sensuelles soient assez innovantes et électrisantes, j'ai craint un moment que l'histoire ne redécolle plus.
Heureusement, dans un second temps on s'intéresse à la résolution de l'intrigue. Il y a un héros à innocenter tout de même. Eh bien là non plus je n'ai pas été convaincue. Je n'ai pas aimé la façon dont la partie "enquête" a été menée et j'ai trouvé le sur-rebondissement final, très "bateau".
La Folie de Lord MacKenzie est un livre que j'étais toute prête à aimer. Mais bien que je l'ai lu assez vite et que je ne puisse pas dire que je me suis ennuyée, je n'ai pas été vraiment séduite. Mais le début était tellement bien !! C'est dommage. Après je reconnais que le sujet auquel s'est attaquée Jennifer Ashley est casse-gueule.
En revanche, j'ai été intriguée par le couple Mac / Isabella, qui fera l'objet du tome 2, et j'ai donc l'intention de continuer la découverte de cette saga.
Ma note pralinée :
/ 5
Compte pour le challenge :
Compte pour le challenge :
FEVRIER : Lire Un Livre Dont La Tranche Ou La Couverture Est Rouge
Et :
Idée n°80. une oreille, ou deux, ou trois ou plus